S'il y a une discipline qui prend du temps dans la préparation d'un Ironman, c'est bien le vélo. Les longs témoignages que l'on trouve sur le net, rappelant les concessions sur la vie de famille pour préparer en ironman nous le rappellent.
Alors comment réussir à diminuer l'impact des longues sorties vélo ? Pour continuer à profiter de sa famille, à répondre présent et ne pas passer à côté de cet aspect, qui pour ma part, est un gage de stabilité et de bonheur ?
La réponse que j'y donne est d'allier les grands déplacements à un entrainement vélo.
C'est comme cela que Dimanche dernier, en déplacement à Rouen pour le week-end, j'ai effectué une partie du retour vers Nantes à vélo. 160km reliant Rouen à Alençon, avec un rdv avec Madame pour finir en voiture.
2 choses.
Fixer une heure de rdv et devoir s'y tenir. Pas question de faire attendre la famille sur une sortie d'autoroute quand on les a déjà laissé seuls en partant plus tôt. Ca booste pour tenir la moyenne et donne un objectif sympathique à la sortie, surtout vers la fin quand le temps commence à paraître long : la sortie a duré 5 heures....
Le vélo c'est vraiment très différent de la course à pied. Plutôt habitué aux sorties longues CAP, qui marquent, laissent des traces dans les muscles, le vélo est vraiment "facile" dans la durée. Malgré les 5 heures, les jambes n'en gardent pas la trace et j'ai pu conduire dans la foulée et être normalement opérationnel sur le reste de la journée. C'est hyper rassurant sur la capacité à enchaîner un marathon après les 180km de l'ironman.
Bien sûr tout cela n'est pas venu du jour au lendemain. Il y a encore 2 ans, le vélo était plutôt galère mentalement, et les fringales ne me donnaient pas de bonnes sensations sur les longues sorties. Mais avec un peu d'entrainement, un beau vélo qui donne de supers sensations de vitesse, et surtout une bonne gestion de l'alimentation permettant d'éviter les fringales, c'est du bonheur.
Alors comment réussir à diminuer l'impact des longues sorties vélo ? Pour continuer à profiter de sa famille, à répondre présent et ne pas passer à côté de cet aspect, qui pour ma part, est un gage de stabilité et de bonheur ?
La réponse que j'y donne est d'allier les grands déplacements à un entrainement vélo.
C'est comme cela que Dimanche dernier, en déplacement à Rouen pour le week-end, j'ai effectué une partie du retour vers Nantes à vélo. 160km reliant Rouen à Alençon, avec un rdv avec Madame pour finir en voiture.
2 choses.
Fixer une heure de rdv et devoir s'y tenir. Pas question de faire attendre la famille sur une sortie d'autoroute quand on les a déjà laissé seuls en partant plus tôt. Ca booste pour tenir la moyenne et donne un objectif sympathique à la sortie, surtout vers la fin quand le temps commence à paraître long : la sortie a duré 5 heures....
Le vélo c'est vraiment très différent de la course à pied. Plutôt habitué aux sorties longues CAP, qui marquent, laissent des traces dans les muscles, le vélo est vraiment "facile" dans la durée. Malgré les 5 heures, les jambes n'en gardent pas la trace et j'ai pu conduire dans la foulée et être normalement opérationnel sur le reste de la journée. C'est hyper rassurant sur la capacité à enchaîner un marathon après les 180km de l'ironman.
Bien sûr tout cela n'est pas venu du jour au lendemain. Il y a encore 2 ans, le vélo était plutôt galère mentalement, et les fringales ne me donnaient pas de bonnes sensations sur les longues sorties. Mais avec un peu d'entrainement, un beau vélo qui donne de supers sensations de vitesse, et surtout une bonne gestion de l'alimentation permettant d'éviter les fringales, c'est du bonheur.
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